Le Devoir libre de penser le révèle, l’Etat canadien de l’Ontario s’apprête à renforcer les cours d’éducation sexuelle.[1] Sous le prétexte de vouloir tenir compte de la réalité des jeunes, le gouvernement entend enseigner aux enfants les points suivants :
Le « zizi » s’appelle en réalité le pénis
Une famille peut très bien avoir deux mères ou deux pères
Le spectre de l’indentité sexuée s’étend sur six genres qui sont les suivants : homme, femme, bispirituel, transgenre, transsexuel et intersexuel.
La précocité de ces enseignements, l’éventail des objets proposés laissent songeur : on semble être passé d’une éducation à la sexualité à la sexualisation complète de toute éducation. Certains groupes locaux, comme la « Coalition des parents inquiets », ont dénoncé ce programme inique.
Note :
[1] http://www.ledevoir.com/societe/education/432734/revolution-dans-l-education-sexuelle-en-ontario