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Les Enseignants pour l’Enfance s’étendent sur le net

jeudi 13 février 2014, par oleg

Les « Enseignants pour l’enfance » s’étendent sur le net. A quoi bon, me direz-vous ? Et bien, tout d’abord pour plus de visibilité mais aussi pour des utilisations plus spécifiques. Voici un petit exposé des aspects propres à chaque support, que nous devons à notre nouvelle rédactrice nommée Flower

Le site internet fourmille d’informations sur le problème du genre à l’école, il annonce les conférences (pour l’instant, surtout en région lyonnaise) et manifestations, propose des articles de fond sur les sujets d’actualité en lien avec l’école, des liens vers d’autres sites d’information toujours autour du thème du genre et surtout une plate-forme d’échanges efficace.
Le compte twitter @PlEnfance (la 2° lettre est un L minuscule) permet de relayer très rapidement des articles sur le sujet, aussi bien des articles contre le gender que des articles pro-gender. Il permet de faire circuler efficacement des pétitions et de sensibiliser les médias aux sujets qui intéressent les internautes (vous entendez sans doute parler aux informations des retweets). L’intérêt de la chose est que, si les médias voient que certains sujets sont très suivis, ils les abordent alors dans leurs journaux.

La page facebook (en cours de création) sera sans doute plus suivie que le compte twitter car plus de personnes pour l’instant utilisent facebook. Son contenu serait assez similaire à ce qui se trouve le site internet, à ceci près que vous n’avez pas besoin d’aller sur le site et que la page s’affiche dans votre « fil d’actualité » lorsqu’un nouveau contenu est ajouté. Ces contenus peuvent être des liens, des réflexions (un peu plus poussées que sur twitter) ou des annonces de sondages, manifestations, pétitions, etc. De même que les retweets sur facebook sont pris en compte par les médias, les like, share et commentaires peuvent inciter les journalistes à faire mention de notre action.

Ces éléments ne sont bien entendu que des moyens, ils ne doivent pas occulter le devoir que nous avons de tous nous former dans le but d’être les dépositaires d’une information vraie. Toutefois, ils permettront de concrétiser, à l’échelle médiatique, le sentiment de sympathie et d’intérêt que suscite, depuis peu et auprès de l’opinion, notre inédite initiative.

A très bientôt donc sur la toile,
Flower.

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