Martine Basiez a été convoquée début décembre par son Rectorat. La faute incriminée serait, lui a-t-on dit, "la gravité des faits qui se sont déroulés sur Twitter" [1]. Digne du soviétisme des grandes heures, cette volonté de censure contrevient aux droits élémentaires du fonctionnaire. Celui-ci en effet, ne saurait être inquiété pour ses opinions politiques du moment qu’il souscrit à l’obligation de réserve.
[1] https://twitter.com/BasiezMartine/status/672680331150032896