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Des ’discriminations’ ? LA solution : séparer les enfants des parents

mercredi 20 novembre 2013, par Epsilon

Ne riez pas, ce n’est (malheureusement) pas une plaisanterie.
C’est la « solution » très sérieusement évoquée par une dame très officielle, dans le cadre très officiel d’une conférence organisée à Lyon ce dimanche 17 novembre.
Voici l’une des (nombreuses) citations hallucinantes, transcrite sans aucune modification, je vous laisse apprécier :
(lien : http://www.lmpt-69.fr/index.php/acualites/136-le-sens-de-la-famille)
Une proposition que je vous soumets, ce serait de disjoindre la parentalité et la conjugalité - pourquoi ne pas proposer dès la naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus simples : il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés
(Anne Verjus, CNRS-ENS)
Cette même dame propose un peu plus loin de :
séparer non seulement le parental et le conjugal mais le sentimental et le parental

Moralité : s’il n’y a plus de famille, il devient possible de faire ce qu’on veut des enfants. Ce n’est pas du tout la position d’Enseignants pour l’Enfance pour qui les parents sont les principaux éducateurs des enfants.

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