La transidentité, nouveau thème préconisé par notre institution n’est pas un phénomène anodin. Il est lourd de conséquences biologiques. Il induit dans tous les pays une politique intrusive qui n’est pas sans violence.
Rappelons quelques conséquences dramatiques pour les intéressés qui se laissent aveugler par l’attrait du frisson des sensation de « l’autre ». En vrac, et de façon très incomplète :
la fragilisation définitive des os, bloqués dans leur densification par l’absorption massive d’hormones antagonistes de leur ADN ;
la stérilisation par une chirurgie lourde dont la réussite n’a rien d’assuré ;
la perte de la possibilité des « sensations » de leur propre sexe sans obtenir en retour celles de « l’autre » ;
les innombrables contraintes liées à ces changements qui en font une corvée (« tiens, pourquoi ne m’en a-t-on pas parlé ? ») ;
le fardeau d’un corps déséquilibré dont l’apparence la plus saillante est en contradiction avec des paramètres fondamentaux (proportions du corps, finesse des articulations, musculature...)
le blocage des capacités intellectuelles, ne serait-ce que par la difficulté intrinsèque de l’apprivoisement d’une nouvelle apparence.
La liste n’est pas close. Nous renvoyons les lecteurs anglophones au livre-témoignage de Walt Heyer, Gender, Lies, Suicide pour une information plus complète. Faudra-t-il s’attendre en France à une nouvelle « journée de retrait de l’école » pour manifester la méfiance des parents envers une institution complice de violence ?
Malheureusement cette offensive contre l’avenir des pays occidentaux n’est pas spécifique à la France :
aux US, les parents qui refusent de voir leurs enfants endoctrinés sont de dangereux terroristes ;
au RU, pédophilie et pédérastie sont parfois présentés comme des comportements normaux ;
en Finlande enfin, la présentation de la beauté de l’amour humain entre un homme et une femme est devenu illégal (précisons ici que l’homme et la femme sont respectivement le mâle et la femelle de l’espèce humaine...)